FAYO. Il est pas très grand. Il porte des bobs... hum... comment dire... indescriptibles? Il vient depuis... on ne sait plus depuis quand il vient d'ailleurs. C'est comme si tous les ans il nous faisait la surprise de sa prévisible visite. Je ne pense pas être malhonnête si je dis que l'on a mis du temps à savoir si on l'aimait. Et puis, il y a deux ans (?) on s'est tous surpris à connaître les paroles de cette chanson. Et puis l'année dernière Fayo s'est trouvé bien surpris quand, aux premières notes de ce morceau, une bande de bénévoles hystériques s'est plantée à cinquante centimètres de lui pour reprendre en choeur non seulement le refrain mais aussi une bonne partie des couplets. Je ne suis pas persuaddée qu'il ait bien compris ce qui se passait. Je ne suis pas persuadée qu'il ait mis dans cette chanson ce que nous y mettons nous. D'ailleurs qu'est-ce qu'on y met? C'est une bonne question... Alors allez savoir pourquoi l'équipe du festival a été à ce point marquée par les paroles et les notes de Fayo? Cela restera je pense un grand mystère... Pourtant je vous assure que, même pour les bénévoles, la sélection de Momo est drastique et qu'il ne prend que le top du top.
Peut-être qu'au fond on est tous tanné d'perdr' not' temps et que l'on aimerait d's'aventurer dans une nouvelle direction avec beaucoup d'changements...
Et puis que malgré tout, on continue de continuer nous aussi...
Je crois qu'on l'aime Fayo... même avec son bob.
Le co-voiturage pour venir aux Déferlantes de Capbreton... 
